Obrigada ao Brumas
Ideia: representação mental; representação abstrata e geral de um objeto ou relação; conceito; juízo; noção; imagem; opinião; maneira de ver; visão; visão aproximada; plano; projeto; intenção; invenção; expediente; lembrança. Dicionário de Língua Portuguesa da Texto Editora
quinta-feira, 31 de julho de 2014
"Je hais mon époque de toutes mes forces. L’homme y meurt de soif." - Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint Exupéry : mythe absolu de l’aviateur et de l’écrivain, auteur du Petit-Prince et de nombreux romans, est mort au combat le 31 juillet 1944. La veille, il écrit au général X et s’exprime avec une lucidité exceptionnelle sur la condition de l’homme moderne. Testament avant l’heure, cette lettre, déchirante à la lumière de son destin, parle étrangement et profondément de notre temps.
Je viens de faire quelques vols sur P. 38. C’est une belle machine. J’aurais été heureux de disposer de ce cadeau-là pour mes vingt ans. Je constate avec mélancolie qu’aujourd’hui, à quarante trois ans, après quelques six mille cinq cents heures de vol sous tous les ciels du monde, je ne puis plus trouver grand plaisir à ce jeu-là. Ce n’est plus qu’un instrument de déplacement - ici de guerre. Si je me soumets à la vitesse et à l’altitude à mon âge patriarcal pour ce métier, c’est bien plus pour ne rien refuser des emmerdements de ma génération que dans l’espoir de retrouver les satisfactions d’autrefois.
Ceci est peut-être mélancolique, mais peut-être bien ne l’est-ce pas. C’est sans doute quand j’avais vingt ans que je me trompais. En Octobre 1940, de retour d’Afrique du Nord où le groupe 2 - 33 avait émigré, ma voiture étant remisée exsangue dans quelque garage poussiéreux, j’ai découvert la carriole et le cheval. Par elle l’herbe des chemins. Les moutons et les oliviers. Ces oliviers avaient un autre rôle que celui de battre la mesure derrière les vitres à 130 kms à l’heure. Ils se montraient dans leur rythme vrai qui est de lentement fabriquer des olives. Les moutons n’avaient pas pour fin exclusive de faire tomber la moyenne. Ils redevenaient vivants. Ils faisaient de vraies crottes et fabriquaient de la vraie laine. Et l’herbe aussi avait un sens puisqu’ils la broutaient.
Et je me suis senti revivre dans ce seul coin du monde où la poussière soit parfumée (je suis injuste, elle l’est en Grèce aussi comme en Provence). Et il m’a semblé que, toute ma vie, j’avais été un imbécile...
Tout cela pour vous expliquer que cette existence grégaire au coeur d’une base américaine, ces repas expédiés debout en dix minutes, ce va-et-vient entre les monoplaces de 2600 chevaux dans une bâtisse abstraite où nous sommes entassés à trois par chambre, ce terrible désert humain, en un mot, n’a rien qui me caresse le coeur. Ça aussi, comme les missions sans profit ou espoir de retour de Juin 1940, c’est une maladie à passer. Je suis « malade » pour un temps inconnu. Mais je ne me reconnais pas le droit de ne pas subir cette maladie. Voilà tout. Aujourd’hui, je suis profondément triste. Je suis triste pour ma génération qui est vide de toute substance humaine. Qui n’ayant connu que les bars, les mathématiques et les Bugatti comme forme de vie spirituelle, se trouve aujourd’hui plongé dans une action strictement grégaire qui n’a plus aucune couleur.
On ne sait pas le remarquer. Prenez le phénomène militaire d’il y a cent ans. Considérez combien il intégrait d’efforts pour qu’il fut répondu à la vie spirituelle, poétique ou simplement humaine de l’homme. Aujourd’hui nous sommes plus desséchés que des briques, nous sourions de ces niaiseries. Les costumes, les drapeaux, les chants, la musique, les victoires (il n’est pas de victoire aujourd’hui, il n’est que des phénomènes de digestion lente ou rapide) tout lyrisme sonne ridicule et les hommes refusent d’être réveillés à une vie spirituelle quelconque. Ils font honnêtement une sorte de travail à la chaîne. Comme dit la jeunesse américaine, « nous acceptons honnêtement ce job ingrat » et la propagande, dans le monde entier, se bat les flancs avec désespoir.
De la tragédie grecque, l’humanité, dans sa décadence, est tombée jusqu’au théâtre de Mr Louis Verneuil (on ne peut guère aller plus loin). Siècle de publicité, du système Bedeau, des régimes totalitaires et des armées sans clairons ni drapeaux, ni messes pour les morts. Je hais mon époque de toutes mes forces. L’homme y meurt de soif.
Ah ! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. On ne peut vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous ! On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Rien qu’à entendre un chant villageois du 15ème siècle, on mesure la pente descendue. Il ne reste rien que la voix du robot de la propagande (pardonnez-moi). Deux milliards d’hommes n’entendent plus que le robot, ne comprennent plus que le robot, se font robots.
Tous les craquements des trente dernières années n’ont que deux sources : les impasses du système économique du XIXème siècle et le désespoir spirituel. Pourquoi Mermoz a-t-il suivi son grand dadais de colonel sinon par soif ? Pourquoi la Russie ? Pourquoi l’Espagne ? Les hommes ont fait l’essai des valeurs cartésiennes : hors des sciences de la nature, cela ne leur a guère réussi. Il n’y a qu’un problème, un seul : redécouvrir qu’il est une vie de l’esprit plus haute encore que la vie de l’intelligence, la seule qui satisfasse l’homme. Ca déborde le problème de la vie religieuse qui n’en est qu’une forme (bien que peut-être la vie de l’esprit conduise à l’autre nécessairement). Et la vie de l’esprit commence là où un être est conçu au-dessus des matériaux qui le composent. L’amour de la maison - cet amour inconnaissable aux Etats-Unis - est déjà de la vie de l’esprit.
Et la fête villageoise, et le culte des morts (je cite cela car il s’est tué depuis mon arrivée ici deux ou trois parachutistes, mais on les a escamotés : ils avaient fini de servir) . Cela c’est de l’époque, non de l’Amérique : l’homme n’a plus de sens.
Il faut absolument parler aux hommes.
A quoi servira de gagner la guerre si nous en avons pour cent ans de crise d’épilepsie révolutionnaire ? Quand la question allemande sera enfin réglée tous les problèmes véritables commenceront à se poser. Il est peu probable que la spéculation sur les stocks américains suffise au sortir de cette guerre à distraire, comme en 1919, l’humanité de ses soucis véritables. Faute d’un courant spirituel fort, il poussera, comme champignons, trente-six sectes qui se diviseront les unes les autres. Le marxisme lui-même, trop vieilli, se décomposera en une multitude de néo-marxismes contradictoires. On l’a bien observé en Espagne. A moins qu’un César français ne nous installe dans un camp de concentration pour l’éternité.
Ah ! quel étrange soir, ce soir, quel étrange climat. Je vois de ma chambre s’allumer les fenêtres de ces bâtisses sans visages. J’entends les postes de radio divers débiter leur musique de mirliton à ces foules désœuvrées venues d’au-delà des mers et qui ne connaissent même pas la nostalgie.
On peut confondre cette acceptation résignée avec l’esprit de sacrifice ou la grandeur morale. Ce serait là une belle erreur. Les liens d’amour qui nouent l’homme d’aujourd’hui aux êtres comme aux choses sont si peu tendus, si peu denses, que l’homme ne sent plus l’absence comme autrefois. C’est le mot terrible de cette histoire juive : « tu vas donc là-bas ? Comme tu seras loin » - Loin d’où ? Le « où » qu’ils ont quitté n’était plus guère qu’un vaste faisceau d’habitudes.
Dans cette époque de divorce, on divorce avec la même facilité d’avec les choses. Les frigidaires sont interchangeables. Et la maison aussi si elle n’est qu’un assemblage. Et la femme. Et la religion. Et le parti. On ne peut même pas être infidèle : à quoi serait-on infidèle ? Loin d’où et infidèle à quoi ? Désert de l’homme.
Qu’ils sont donc sages et paisibles ces hommes en groupe. Moi je songe aux marins bretons d’autrefois, qui débarquaient, lâchés sur une ville, à ces noeuds complexes d’appétits violents et de nostalgie intolérable qu’ont toujours constitués les mâles un peu trop sévèrement parqués. Il fallait toujours, pour les tenir, des gendarmes forts ou des principes forts ou des fois fortes. Mais aucun de ceux-là ne manquerait de respect à une gardeuse d’oies. L’homme d’aujourd’hui on le fait tenir tranquille, selon le milieu, avec la belote ou le bridge. Nous sommes étonnamment bien châtrés.
Ainsi sommes-nous enfin libres. On nous a coupé les bras et les jambes, puis on nous a laissé libres de marcher. Mais je hais cette époque où l’homme devient, sous un totalitarisme universel, bétail doux, poli et tranquille. On nous fait prendre ça pour un progrès moral ! Ce que je hais dans le marxisme, c’est le totalitarisme à quoi il conduit. L’homme y est défini comme producteur et consommateur, le problème essentiel étant celui de la distribution. Ce que je hais dans le nazisme, c’est le totalitarisme à quoi il prétend par son essence même. On fait défiler les ouvriers de la Ruhr devant un Van Gogh, un Cézanne et un chromo. Ils votent naturellement pour le chromo. Voilà la vérité du peuple ! On boucle solidement dans un camp de concentration les candidats Cézanne, les candidats Van Gogh, tous les grands non-conformistes, et l’on alimente en chromos un bétail soumis. Mais où vont les Etats-Unis et où allons-nous, nous aussi, à cette époque de fonctionnariat universel ? L’homme robot, l’homme termite, l’homme oscillant du travail à la chaîne système Bedeau à la belote. L’homme châtré de tout son pouvoir créateur, et qui ne sait même plus, du fond de son village, créer une danse ni une chanson. L’homme que l’on alimente en culture de confection, en culture standard comme on alimente les boeufs en foin.
C’est cela l’homme d’aujourd’hui.
Et moi je pense que, il n’y a pas trois cents ans, on pouvait écrire La Princesse de Clèves ou s’enfermer dans un couvent pour la vie à cause d’un amour perdu, tant était brûlant l’amour. Aujourd’hui bien sûr les gens se suicident, mais la souffrance de ceux-là est de l’ordre d’une rage de dents intolérable. Ce n’a point à faire avec l’amour.
Certes, il est une première étape. Je ne puis supporter l’idée de verser des générations d’enfants français dans le ventre du moloch allemand. La substance même est menacée, mais, quand elle sera sauvée, alors se posera le problème fondamental qui est celui de notre temps. Qui est celui du sens de l’homme et auquel il n’est point proposé de réponse, et j’ai l’impression de marcher vers les temps les plus noirs du monde.
Ca m’est égal d’être tué en guerre. De ce que j’ai aimé, que restera-t-il ? Autant que les êtres, je parle des coutumes, des intonations irremplaçables, d’une certaine lumière spirituelle. Du déjeuner dans la ferme provençale sous les oliviers, mais aussi de Haendel. Les choses. je m’en fous, qui subsisteront. Ce qui vaut, c’est certain arrangement des choses. La civilisation est un bien invisible puisqu’elle porte non sur les choses, mais sur les invisibles liens qui les nouent l’une à l’autre, ainsi et non autrement. Nous aurons de parfaits instruments de musique, distribués en grande série, mais où sera le musicien ? Si je suis tué en guerre, je m’en moque bien. Ou si je subis une crise de rage de ces sortes de torpilles volantes qui n’ont plus rien à voir avec le vol et font du pilote parmi ses boutons et ses cadrans une sorte de chef comptable (le vol aussi c’est un certain ordre de liens).
Mais si je rentre vivant de ce « job nécessaire et ingrat », il ne se posera pour moi qu’un problème : que peut-on, que faut-il dire aux hommes ?
quarta-feira, 30 de julho de 2014
segunda-feira, 28 de julho de 2014
1ª guerra mundial - 100 anos
Faz hoje 100 anos que começou a 1ª guerra mundial - a chamada Grande Guerra.
A Primeira Guerra Mundial ocorreu entre 28 de julho de 1914 e 11 de novembro de 1918 e alterou para sempre o mapa geopolítico na Europa e no Médio Oriente.
Nunca viu estes filmes? Pois tem que obrigatoriamente vê-los
1944 - Realização de Billy Wilder
1947 - Realização de Henry Hathaway
1947 - Realização de Jaques Tourneur
1948 - Realização de Henry Hathaway
1950 - Realização de Rudolf Mate
1952 - Realização de Richard Fleischer
1953 - Realização de Fritz Lang
1953 - Realização de Samuel Fuller
domingo, 27 de julho de 2014
quinta-feira, 24 de julho de 2014
"An honest Israeli Jew tells the Real Truth about Israel"
Miko Peled was born in Jersusalem into a famous and influential Israeli Zionist family. His father was a famous General in the Israeli Army, of which Miko also served his time. When Miko's niece was killed by Palestinian suicide bombers, you may have expected the family to put Palestinians at fault, but surprisingly they blamed the state of Israel, and their violent torturing and persecution for driving people to such sadness that they would take their own lives.
terça-feira, 22 de julho de 2014
CPLP - Não preciso de ter 4 anos para perceber
A bandeira é em espanhol. Portanto a língua não é importante.
O petróleo, esse, não tem língua.
A Guiné Equatorial passou a fazer parte da CPLP. Já nos chegava Angola!
Parece que o problema dos Direitos Humanos está resolvido. Quem diria? Veja aqui tudo.
Alguns exemplos:
Guiné Equatorial, um país preso pelo medo
"Je suis prête à tout sacrifier" - Casa[blanca], vendredi 22 juillet 1949
Mon adoré,
J'ai tant de choses à te dire et puis tout se bouscule. Et je me rends compte à chaque fois que je termine une lettre, que j'avais encore mille trucs à écrire et que c'est encore une fois trop tard. La seule phrase que je n'oublie jamais c'est que je t'aime de plus en plus et que je suis complètement folle de toi. C'est vrai, mon adoré, je m'habitue de moins en moins à nos séparations et mon coeur se déchire à chaque fois un peu plus. Je t'aime si profondément, si fort dans moi, je suis imprégnée de toi et n'ai qu'une seule idée : te rendre heureux. Je serais capable de tout pour ton bonheur. Si tu savais les idées qui me traversent la tête, j'ai tant peur que tu aies de la peine à cause de moi, je ne veux jamais être une entrave à ton coeur. Quand je m'aperçois, mon amour, la place que tiennent dans ton coeur tes trois petits, j'ai envie de partir très loin me disant que peut-être un jour tu me seras reconnaissant de l'avoir fait. Ta vie est si solidement bâtie sur des choses que tu as voulues et construites toi-même, que des fois, j'ai des peurs atroces. Oh, chéri, Dieu m'est témoin que dans cette histoire, je ne demande rien et que je suis prête à tout sacrifier. Mais jusqu'à quand pourrons-nous vivre ainsi. Une lettre, un téléphone, une stupide coïncidence peut nous trahir et alors... ? Que deviendrons-nous ? Quelle sera ta réaction ? As-tu pensé à toutes ces choses ? Il le faut pourtant, car je ne veux pas qu'un jour tu me gardes une rancune de ce qui peut advenir ! Cela devient de plus en plus difficile pour nous et mon coeur tremble à chaque minute ! Je veux que tu penses à nous froidement, que tu regardes bien au fond de toi et savoir aussi les responsabilités à envisager au cas où... !
[...] Comment es-tu ? Je suis si inquiète, tu me fais trembler tout le temps. Peut-être en Amérique, allons-nous enfin être heureux. Chéri, je t'aime tant, tu ne peux savoir à quel point, tout au monde pour toi je ferais. Je me jette dans tes bras que j'adore, je t'appartiens, tout petit adoré que j'aime. Serre-moi fort contre ton coeur, empêche-moi de respirer et dis toi que rien au monde ne compte pour moi que toi, je te le jure sur ma voix, ma vie, mes yeux. Chéri, chéri, j'aimerais passer toute ma vie à tes pieds et te servir. Tu es si merveilleux et je t'admire tant. Momone et Loulou t'embrassent, quant à moi je te fais ce que tu veux. Moi petite.
Edith Piaf
Daqui
"Not in My Name, Netanyahu"
As I write these words, my hands tremble from the unspeakable images and stories I’ve witnessed in Gaza. They tremble with worry that those young Israeli soldiers losing their lives, casualties in a war they did not create, will be among those families I know, and that their numbers will grow.
My hands also tremble because, during all this, Israel’s leader – Prime Minister Binyamin Netanyahu – has repeatedly claimed to represent me, and all Jews, as Israel continues its brutal assault on Gaza, an assault which, as history shows, will neither achieve its strategic goals nor reap anything but heartache.
No, he does not speak for me.
Este artigo foi publicado no passado dia 20 por David Harris-Gershon no Tikkun Daily.
Leia aqui na íntegra porque diz ele: Not in My Name, Netanyahu
segunda-feira, 21 de julho de 2014
Homenagem a Rubem Alves
Há escolas que são gaiolas e há escolas que são asas.
Escolas que são gaiolas existem para que os pássaros desaprendam a arte do vôo. Pássaros engaiolados são pássaros sob controle. Engaiolados, o seu dono pode levá-los para onde quiser. Pássaros engaiolados sempre têm um dono. Deixaram de ser pássaros. Porque a essência dos pássaros é o vôo.
Escolas que são asas não amam pássaros engaiolados. O que elas amam são pássaros em vôo. Existem para dar aos pássaros coragem para voar. Ensinar o vôo, isso elas não podem fazer, porque o vôo já nasce dentro dos pássaros. O vôo não pode ser ensinado. Só pode ser encorajado.
domingo, 20 de julho de 2014
STOP TTIP!
"Toutes les raisons pour lesquelles je quitte Israël"
Lutas esquecidas - Presos Mapuche
20 de julho de 1969
Em comemoração aos 45 anos da chegada do homem à Lua, em 20 de julho de 1969, a Nasa divulgou uma versão restaurada da transmissão da chegada da missão Apollo 11 ao satélite.
sexta-feira, 18 de julho de 2014
quinta-feira, 17 de julho de 2014
terça-feira, 15 de julho de 2014
segunda-feira, 14 de julho de 2014
terça-feira, 8 de julho de 2014
A prova! - É possível reestruturar a dívida. Nada é inevitável
4 economistas provam que é possível. Têm propostas:
Um programa sustentável para a reestruturação da dívida portuguesa
"An Own Goal in Portugal"
A Direita Americana Arrasa a Política Económica de Passos:
Na íntegra aqui.
segunda-feira, 7 de julho de 2014
domingo, 6 de julho de 2014
Vai para a merda Coiso!
O Coiso nasceu a 15 de julho de 1939 no Algarve (para mim, que tenho raízes algarvias de que muito me orgulho é uema verdadeira tristeza).
O Coiso é o político português que mais tempo esteve no poder: 1º ministro de 6 de novembro de 1985 a 28 de outubro de 1995 e Presidente da República desde 2006.
O Coiso foi também ministro de Sá-Carneiro durante dois anos.
O Coiso gosta de betão (não sei se também gosta de laranjas algarvias): construiu, mandou construir ou projetou os milhares de quilómetros de autoestradas de que mais de 50% dos portugueses não se serve.
O Coiso foi um entusiasta da destruição da agricultura, das pescas e da indústria em Portugal para construir as tais autoestradas e o CCB (de que, aliás gosto muito).
O Coiso foi contra os comboios: suspendeu a Linha do Sabor, a Linha do Vouga e a linha do Douro.
O Coiso dizia que queria trabalhar e não o deixavam porque faziam muitas greves.
O Coiso quer agora reconstruir a agricultura, as pescas e a indústria e acha uma pena não haver comboios na Linha do Sabor, do Vouga e do Douro.
O Coiso ganha pouco, diz ele.
O Coiso tem muitas condecorações.
O Coiso gosta muito de agradecer e dar parabéns aos portugueses que se distinguem internacionalmente, mas só aqueles que o apoiam.
O Coiso não ri nem chora.
O Coiso está morto mas, infelizmente, não está enterrado.
Ao Coiso não lhe interessa que Carlos do Carmo tenha ganho um Grammy. A mesma coisa com o Nobel de Saramago.
O Coiso é uma besta!
Vai para a merda Coiso!
"Sisi channels Salazar…whoever he was"
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